Un matin, tu te retrouves face au miroir, la brosse pleine de cheveux : panique ! Avant de crier au loup, il faut savoir distinguer une chute « normale » d’un vrai SOS capillaire. Les chercheurs de l’université de Toronto estiment qu’on perd naturellement 50 à 100 fibres par jour, mais quand la poignée devient un bouquet, certains signaux d’alerte de perte de cheveux crient qu’il est temps d’agir. Stress, chaleur, hormones ou carences : sept déclencheurs majeurs peuvent se corriger facilement… si on les repère à temps.
Les 7 déclencheurs qui font sonner l’alarme capillaire
Stress chronique : le cortisol agit comme un mini ouragan sur le follicule. La bonne nouvelle ? La cohérence cardiaque ou un cours de yoga gratuit sur YouTube peut le faire fondre plus vite qu’un glaçon au soleil.
Carence en fer : chez les femmes, une ferritine sous 30 ng/ml fait grincer les racines. Des lentilles au dîner ou un complément conseillé par un médecin sauvent la mise.
Déséquilibre hormonal : grossesse, post-partum ou ménopause bousculent la chevelure. Des gammes comme L’Oréal Serioxyl ou Vichy Dercos densifient visuellement en attendant le retour à l’équilibre.
Chaleur déréglée : brushing brûlant, plaques à 230 °C ou canicule – relis le dossier complet sur la canicule et la perte de cheveux puis baisse le thermostat.
Coiffures serrées : un bun plaqué tiraille la racine, surtout répété chaque jour. Alterner avec un kardoune en soie limite la traction.
Produits agressifs : certains sulfates décapent. Des marques douces comme Ducray ou Bioderma lavent sans drame.
Saisons extrêmes : UV, vent glacé ou pollution saturée d’ozone tapent sur la kératine. Un spray antioxydant signé Kerastase fait office de bouclier.
Reconnaître les signaux d’alerte dès la racine
Le premier indice, c’est souvent la raie qui s’élargit. Si tu vois plus de cuir chevelu qu’hier, pas de mauvaise lumière : tes follicules miniaturisent. Deuxième clignotant : la queue-de-cheval qui rétrécit. Clara, 27 ans, a mesuré la sienne : 8 cm de circonférence en janvier, 5 cm en avril. Avec un massage quotidien et le sérum anti-chute Redken, elle a stoppé l’hémorragie en trois mois.
Corriger chaque déclencheur avant qu’il ne soit trop tard
Quand le stress domine, le corps produit des radicaux libres toxiques pour le bulbe ; un simple bain d’huile tiède de ricin, expliqué pas à pas sur notre guide ricin, apaise et nourrit. Pour les carences, un bilan sanguin vaut mieux qu’un cocktail de pilules au hasard. Côté chaleur, un lisseur titane thermorégulé tel que ce modèle professionnel maintient 180 °C stables, évitant les pics brûlants. Marie, coiffeuse à Lyon, conseille aussi la brosse sanglier-bambou : moins de passages, moins de casse.






